Lorsqu'un chat mourait de mort naturelle autrefois en Egypte, sa famille humaine se rasait les sourcils et se lamentait à voix haute. Après une période de deuil appropriée, on fermait les yeux de l'animal et on pressait ses moustaches contre son museau afin de le préparer à la momification. Ce travail accompli, on l'enterrait décemment, souvent dans un sarcophage décoré avec recherche.
Ci-contre : peinture de Susan Herbert qui substitue avec talent et humour un chat à la momie de Toutankhamon...